Les 12 travaux d’Astérix
Prélude
Pompa romaine (défilé) avec les bénévoles de l’association Arelate et la Légion 6 Ferrata.
Les Romains reviennent au devant de la scène avec ceux qui savent faire vibrer les foules : les Gladiateurs ! Spectacle de reconstitution avec son et image proposé par la société ACTA.
Infos pratiques
Date et lieu
- Mardi 20 août 2019 à 20h45
- Théâtre antique, 8 rue du Cloître, Arles (localiser)
- XXXIIe Festival du film Peplum
Tarifs
- Plein tarif : 7 €
- Tarif réduit : 5 €(Enfant (-12 ans), Étudiant (-26 ans), Adhérent Péplum, Adhérent Arelate, Billet du jour au Musée Départemental de l'Arles Antique, Carte d'abonnement ENVIA, Pass monument de la ville (Avantage ou Liberté) daté de la semaine du festival)
- Pass 3 soirées : 15 €
- Pass 6 soirées : 25 €
Animation
- Association Arelate
- Légion 6 Ferrata
- Association ACTA
- Christophe Champclaux, Spécialiste du cinéma
Projection
- Film diffusé en version française
- Version remasterisée
Le film
Les 12 travaux d'Astérix (1976)
Synopsis
Lassé par la résistance de l’irréductible petit village Gaulois, l’Empereur César lance un défi à ses habitants : s’ils lui prouvent qu’ils sont des dieux, il s’inclinera devant eux. Mais comment lui apporter cette preuve ? Il suffit de marcher sur les traces d’Hercule qui en triomphant de douze travaux fut accepté parmi les dieux de l’Olympe.
Si les Gaulois remportent les épreuves difficiles envoyées par César, ils seront libres. Mais en cas d’échec, ils devront se soumettre à Rome. Face à ce défi, Astérix et Obélix sont désignés pour effectuer les douze travaux.
A propos
«En 1976, les studios Idéfix créés pour l’occasion donnent naissance aux Douze travaux d’Astérix qui est l’adaptation la plus réussie à ce jour. Mis au défi par César d’égaler les exploits d’Hercule, Astérix et Obélix s’attaquent à une série de douze épreuves dont ils sortiront bien sûr vainqueurs. Cette formule proche du film à sketches donne un bon rythme au film et le scénario combine avec habileté le dosage «ruse» (Astérix) et «exploit physique» (Obélix). Goscinny donne libre cours à son goût de l’anachronisme avec l’apparition d’une rame de métro à la station Alésia ou encore la satire des absurdités de l’administration. En clin d’œil, on peut apprécier l’introduction, dans une courte séquence, de l’indien Oumpah Pah, autre création célèbre du tandem Goscinny-Uderzo. Cette tentative réussie restera malheureusement sans suite jusqu’en… jusqu’en 1985 où la Gaumont annonce la sortie à Noël d’Astérix et la Surprise de César.»
Marcel Burel (Travelling, n° 9, octobre 1985)